À l’heure des théories de l’effondrement, des imaginaires pessimistes qui gagnent chaque jour du terrain, réfléchir au futur est une façon d’imaginer des futurs idéaux, de reprendre le pouvoir sur les prédictions fatalistes, et de réhabiliter l’espoir.

A défaut de pouvoir prédire le futur, on peut réfléchir au monde qui vient pour mieux l’appréhender et le réorienter vers une meilleure prise en compte des problématiques environnementales et sociales.

Le futur : plus on le pense bien, mieux il sera. Il faut travailler à ce que demain soit plus intéressant qu’aujourd’hui et croire au pouvoir de l’action collective.

Prendre en compte les critères ESG (Environnement, Social, Gouvernance) dans son modèle de développement a un coût mais il s’agit avant tout d’un investissement

Les entreprises qui gèrent mieux leurs problématiques environnementales et sociales surperforment leurs paires

Les problématiques ESG ne peuvent plus être traitées en silo

Avec sa rigidité pyramidale, le renforcement des contrôles, le découpage des tâches, le taylorisme est inapte à gérer la complexité des problématiques environnementales, sociales et organisationnelles

Il n’y aura pas de transformation durable des modèles d’affaires sans intelligence collective

En décloisonnant et désilotant les expertises, en libérant l’intelligence émotionnelle, en offrant la parole au plus grand nombre, l’intelligence collective contribue à l’innovation, au renouveau permanent et à l’éveil d’un véritable sentiment d’appartenance et de responsabilité